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Après quelques semaines fort chargées, me voilà de retour pour la suite des aventures de Bella Ciao et de sa remise en état.
Pourquoi avoir été si long ? Bein déjà parce que je suis en formation et qu'il y a du boulot aussi de ce coté là. Je me suis aussi battu avec mon téléphone qui ne voulait plus donner les photos prises pour suivre mes travaux. (du coup, il m'en manque).. Bref, ne reste plus qu'on gros retour sur les épisodes précédents pour reprendre le fil de la remise en forme.
Alors, par quoi commencer.... il était une fois... euh non, c'est pas ça.
Les différents travaux du garage ont conduit mes nouveaux petits camarades de formation à démonter un morceau de châssis avec essieu arrière afin de le remettre en état et dans un deuxième temps de souder le tout à un moteur déjà « exposé » en salle des moteurs. Ils ont donc tout démonté, brossé et poncé avant de faire un peu de peinture. L'économie étant le mot d'ordre actuel un peu partout, je ne résiste pas à l'envie de vous montrer à quoi ressemble maintenant ce demi châssis peint avec des restes de peinture
Le rose plait tellement à tous ceux qui visitent le garage que le manitou actuellement en chantier de rénovation devrait lui aussi hériter d'un joli avec en prime un « flamming » de couleur encore indéterminée (des flamme couleur bronze sont à l'étude)
Bref, j'ai pu du coup de libérer de la place dans un endroit calme sans avoir besoin tous les 4 matins de changer mon châssis de place et j'y ai apporté ma petite touche (on a la culture que l'on peut, ceux qui ont la même reconnaitront)
Entre temps, j'ai poursuivi la rénovation de la caisse.
J'ai mis dans un premier temps les planchers en attente, suite à mon incapacité à faire des nervures correctes sans tout tordre. Je me suis donc lancé à l'assaut de la baie de pare brise. Que je sois bien clair, je n'ai pas passé de très bons moment à cet exercice là, et j'avoue que j'hésiterais encore si je dois reproduire la manipulation.
Je ne me suis pas résolu à faire du rustinage avec tu sintofer ou assimilé, je voulais quelque chose de plus propre, de plus originel. J'avais découpé la baie de mon autre caisse juste en dessous de la charnière de capot (la question de dé-pointer est un peu trop galère à mon goût lorsque l'on a pas trop de temps, ce qui était le cas lors du découpage).
Je me suis d'abord attaché à remettre le plus en état possible la baie de rechange, je voulais être sûr de ce que j'allais installer avant de faire une quelconque découpe sur Bella Ciao. J'ai donc bien nettoyé, soudé la base (l'endroit de la découpe coïncidait à la jonction entre le devant de la baie et le support de moteur essuie glace
J'ai re soudé également une découpe impromptue faite avant une réflexion suffisante (j'avais imaginé dans un premier temps ne changer que la face extérieure de la baie, sur tout le pourtour bas du pare brise, avant de m'orienter vers un changement complet)
Une fois presque rassuré de l'état de la baie à installer, j'ai effectué les dernières découpes propres pour quelle soit prête à poser. j'ai installé ensuite les renforts de caisse supplémentaires
Puis j'ai procédé à la découpe qui reste un grand moment de solitude lors de premières attaque de la disqueuse « compet' » avec des disques à tronçonner de 35cm
Je me suis gardé de la marge sur Bella Ciao pour ajuster ensuite peu à peu la nouvelle baie. Voilà le travail
Vient ensuite le travail d'ajustage à la meuleuse pour arriver finalement à la moins pire position possible. Je dis moins pire car il restait encore un joli jour en bas de la baie et que la soudure à venir allait s'avérer coriace.
Ce fut le cas !!!!
J'ai fait de très nombreux tests sur la vieille baie avec le MIG et toujours pas d'améliorations (en tout cas pas d'améliorations suffisantes pour oser utiliser cet outil sur Bella Ciao). J'ai donc opté pour le chalumeau avec en ligne de conduite la phrase de mon grand maitre carrossier Fernand « faut choisir, soit tu soude, soit tu brase, mais la soudure n'existe pas avec de la brasure ! »
Des baguettes de fil de fer, mon chalumeau acétylène, une buse de 125 et en avant !!!
Comme je l'espérait, la soudure s'est bien passée, elle est solide voire robuste et plutôt droite. Comme je le craignais par contre, la partie basse de la baie s'est déformée et je me promet une bonne phase de dressage de tôle.
Une fois bien soudée, j'ai pu ensuite braser pour boucher les trous et revenir à quelque chose de relativement harmonieux, qui n'aura besoin que d'une miette de mastic en surface pour un bon fini
Voilà le résultat qui au regard de l'ancienne baie, me conviens pas mal.
J'ai fini aussi quelques rustines sur les bas de caisse qui ont été allégés de toutes les parties rouillées.
Marc
Empirisme : méthode expérimentale qui conduit des gens comme moi à dire et faire bon nombre de conneries
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Après quelques jours sur des moteurs aussi colériques que pourris, j'ai pu me relancer dans les fameux planchers. Je me suis résolu à passer sur du plancher plat mais à conserver les renforts inférieurs qui sont correct après décrassage.
Une plaque en 15/10 ème d'épaisseur et c'est partit pour le tracé
Puis découpe
Et pliage du champ coté bas de caisse qui servira à la soudure par point au moment de l'installation (ce petit pli renforce également la rigidité de l'ensemble)
Première mise en place sur la bête histoire de se motiver
Ne restait plus qu'à préparer la pose définitive et là, bon gros moment de réflexion !! J'avais décroché les renfort inférieurs de planchers mais où les placer précisément ?
Vu que ces renforts se fixent aux supports de pots de suspension et qu'ils servent également de fixation aux glissières de supports de sièges avant, je me suis dit que j'allais partir du châssis pour aller ensuite aux planchers et donc à la caisse.
J'ai donc tracé les plaques manquantes sur les renforts
Je l'ai ai découpé (merci la scie sauteuse d'avoir tenu le coup !)
Puis j'ai installé les renforts et leur plaque sur le châssis
Ne restait plus qu'à positionner les glissières et les supports de sièges pour trouver où placer les fixations des glissières dans les renforts de plancher !
Petit truc bien pratique, un outil à utiliser au quotidien : le stylo correcteur (vous savez le blanco pour corriger les fautes sur le papier). Je peux vous dire que pour faire des tracés et repères sur des pièces métalliques et/ou mécaniques, c'est que du bonheur.
Petits trous de 10 et brasure des 4 écrous prisonniers (les fameux 4 écrous qui m'ont pris 2h30 à souder dans ma formation de fonctionnaire ).
Tant qu'on y est, il est à savoir (et maintenant je vais m'en souvenir !!) qu'il ne faut pas souder ou braser un écrou avec la vis dedans !!!
J'ai ensuite re positionné les renforts de plancher sur le châssis, j'ai mesuré précisément la largueur entre mes deux planchers sur la caisse et j'ai reporté cette mesure sur le châssis pour savoir où allaient arriver mes planchers exactement une fois tout fixé.
Ne restait qu'à placer les planchers sur les renforts et sur le châssis au bon endroit, repérer le positionnement des renforts sur le plancher et percer les 4 trous sur chaque plancher (deux pour passer les vis de fixation des glissières de support de siège et deux pour passer les vis de fixation entre renfort et support de pot de suspension)
Les trous les plus gros sont moyens mais j'ai voulu tenter de les faire avec une mèche et la perceuse à colonne et je peux vous assurer qu'une mèche de 28, ça secoue gravement en arrivant en fin de perçage !!!!
Enfin pour finir, ce matin même entre 4 pneu neige, soudure des trois parties : plancher, renfort et plaque intermédiaire au poste à souder par point récupéré hier chez Fernand puis couche généreuse de rustol pour qu'il s'infiltre entre les trois épaisseurs et protège bien tout avec deux jours et demi de séchage à venir.
C'est tout pour aujourd'hui !!!
Marc
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Cool, tout ce que j'aime!! Par contre, tu n'y vas pas un peu fort avec la buse de chalumeau? Sur les deuche et dérivés, j'utilise perso une buse de 63 et 100 sur le chassis, ça évite les trop fortes déformations...
Christophe
Mes tiotes autos: Mémère, Mentalo, Acamembert
Quand tu commences à prendre des virages dans une ligne droite, c'est que ça tourne pas rond dans le carré de l'hypoténuse. P.Dac
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avec la 100 je galere pour garder une zone de fusion et du coup ma soudure est vraiment pourrie, c'est suffisant pour la brasure par contre. C'est peut être le chalumeau qui merdouille aussi car il est assez vieux (la lance) et galère à régler en fait.
Marc
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Je pense que ça vient aussi de la lance, ptêt que les presse-étoupes sont desserés? Mon chalumeau a 30ans, je le tiens de mon pêre (il était plombier, il m'a appris à souder, braser..quand j'avais 10ans en refaisant une Ami 8) c'est un Sauvegeau et je n'ai pas de problêmes mais je l'ai déjà remis en état et il est vrai qu'il y avait une grande différence après!!!
Christophe
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Quand tu commences à prendre des virages dans une ligne droite, c'est que ça tourne pas rond dans le carré de l'hypoténuse. P.Dac
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alors que celui que j'utilise a déjà servi à au moins six promotions d'apprentis mécano poids lourds qui pour certains n'étaient pas l'apogée du consciencieux Pour certains, chalumeau veux dire oxy-découpe et rien d'autre
Marc
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C'est beau, Marc!
"Tout le monde croyait que c'était impossible, sauf un imbécile qui ne le savait pas et qui l'a fait.''
"Erythacus Rubecula nunc Volvo sed Audi" Le Rougegorge ne roule pas mais écoute.
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J'adore vraiment. Content de te retrouver, Marc, dans cette cure, phase 2.
Pendant que je regarde et que je lis, les yeux écarquillés, grands comme des soucoupes, il y a Christophe qui discute taille de buse. Sur ce coup-là, c'est moi qui me sens comme une buse ! Ces techniques m'échappent totalement. J'ai fait quelques soudures salopées à l'arc, et je n'en étais pas fier du tout, un peu de soudure à l'étain...
Chapeau Marc, quel boulot !
Cordialement,
Clément
- Dis Anne, ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?
- Je vois un grand troupeau de Dyanes frémissantes,
J'entends sous leurs capots leurs trois chevaux hennir
Grâce à elles notre vie sera plus palpitante !
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Bonsoir Président,
Oui, comme dit Aca, c'est beau, mais quel boulot !, respect pour tous les intervenants,
A quoi çà mène la passion, pour le plaisir, la bestiole sera belle à la fin, bravo !,
Pierre-Michel.
Pierre-Michel
Je n'ai plus de Dyane ! et...
" Celui qui donne ne doit jamais s'en rappeler; celui qui reçoit ne doit jamais oublier "
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Merci beaucoup de ces nombreux compliments. Je reste quand même sacrément embêté par cette question de soudure au MIG que je n'arrive pas à faire évoluer. Je commence à voir des progrès au chalumeau, largement plus à l'arc (y'a 8 mois, je croyais que lorsqu'on me parlait de soudure à l'arc, c'était encore la faute à Crozemarie [sous durs à l'Arc.... désolé]). mais pas moyens d'avoir ce satané déclic avec le MIG qui te fait dire "ah, ça commence à venir...."
Le chalumeau est une technique très agréable bien plus en douceur que l'arc, j'ai tendance à dire que c'est celui qui demande le plus de finesse. Tu es dans la pénombre avec les lunettes "verre fumé", tu te concentre sur le bruit de la flamme, les odeurs et les halos de chaleur qui montent vers toi. tu amène doucement un petit morceau de métal en fusion, juste assez pour le faire miroiter mais pas trop pour éviter qu'il claque ou s'effondre au travers de ta plaque de métal. tu y ajoute ensuite une goutte du métal de ta baguette d'apport qui va se mêler à ton point de fusion, le faire légèrement bomber. Ensuite, tu fais souffler tout doucement ton chalumeau sur cette petite bosse et tu la conduit le long de la ligne de soudure pour transmettre la fusion de proche en proche, en ajoutant du métal d'apport régulièrement. Tu vois au fur et à mesure cette onde de métal qui se mêle en un instant précis au métal proche rougi par la chaleur du chalumeau et tu te rend compte avec un peu d'habitude que tu sais précisément à quel moment cela se passe grâce aux couleurs et aux bruits. Pour moi, c'est le top du zen, tu te coupe du monde qui t'entoure pour te plonger dans ces nuances de jaune, orange et rouge. C'est une des rares pratiques qui me conduit à redoubler de patience et d'envie de précision même si cela demande encore un gros gros bout de travail avant de dompter cette jolie flamme.
Et demain, je vous ferais ressentir au travers de mes mots toute la poésie de la pompe à graisse
Marc
Empirisme : méthode expérimentale qui conduit des gens comme moi à dire et faire bon nombre de conneries
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J'aime ce travail pur et dans le respect de l'art, à ta place fou comme je suis j'aurais refait les nervures. Mais bon déjà là je tire ma révérence.
Dyane, GS et bien d'autres.
Faut vivre ce qu'on aime maintenant après c'est trop tard.
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Alors, sur les nervures, j'en ai causé longuement hier soir avec Fernand et il m'a montré des photos. En gros, l'outil que j'ai fait n'est pas adapté car trop court. Lui, il a fait un outil mâle de toute la longueur des planchers et un outil femelle en forme de cube de 10 cm de coté.
Il pose sa plaque sur l'outil mâle et serre chaque extrémité dessus avec un serre joint. Il m'a dit de ne surtout pas tenter de bloquer la tôle ailleurs, elle doit vivre et bouger. Il déplace ensuite son outil femelle dessus, en débutant d'un coté pour aller jusqu'à l'autre en marquant légèrement la forme dans un premier temps (tout est au marteau sur l'outil femelle) puis reprend deux à trois fois ce parcours en marquant un peu plus la nervure jusqu'à arriver à l'emboitement parfait des deux outils. Il travaille enfin la tôle aux extrémités pour dresser correctement la tôle qui a forcément un peu travaillé dans la perpendiculaire de la nervure (mais pas dans l'autre, elle ne vrille pas).
Il fait toutes les nervures dans un sens comme cela puis fait ensuite celles croisées en veillant à ce que la ligne de la tôle reste bien plate entre chaque établissement d'une nervure.
En gros, il te raconte ça comme si c'était aussi simple que de poser un pas devant l'autre mais chiche un jour, je tenterais.
Marc
Empirisme : méthode expérimentale qui conduit des gens comme moi à dire et faire bon nombre de conneries
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Ben, il fait comme toi quand tu racontes ta soudure. S'il y met autant de poésie que toi, ça doit être joli à écouter. Enregistre-le, c'est du patrimoine pur.
Bonne soirée,
Clément
- Dis Anne, ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?
- Je vois un grand troupeau de Dyanes frémissantes,
J'entends sous leurs capots leurs trois chevaux hennir
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Il est vrai que c'est joliment raconté et je pense un peu la même chose, je pratique toutes sortes de soudures et je préfère largement le chalumeau et par-dessus tout la brasure. Pour le MIG, j'ai été prof de soudure dans un CFA il y quelques années et je pense qu'il ne faut pas savoir souder pour s'en servir correctement. Il faut oublier tout ce que l'on a appris des autres techniques avant d'y arriver! J'en possède un mais ne m'en sers que rarement, je préfère mon bon vieux "bec de gaz"!! En ce moment, j'apprends à dompter un découpeur au plasma qu'une amie m'a offert à la fermeture de son entreprise d'accastillage. Ce truc est génial!!
Christophe
Mes tiotes autos: Mémère, Mentalo, Acamembert
Quand tu commences à prendre des virages dans une ligne droite, c'est que ça tourne pas rond dans le carré de l'hypoténuse. P.Dac
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Brouf !
Clément
- Dis Anne, ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?
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Grâce à elles notre vie sera plus palpitante !
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Le plasma est super et avec tu peux pour certain en faire un outil aussi bien que le bec de gaz c'est un TIG et là les soudures sont parfaites au passage je serai preneur d'un pareil outil!
Dyane, GS et bien d'autres.
Faut vivre ce qu'on aime maintenant après c'est trop tard.
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Je suis pas vendeur de ce truc génial, c'est un cadeau et pis je fais beaucoup de choses en métallerie, des portails, des garde-corps, tout ce qui touche aux métaux m'interesse, en ce moment je restaure un portail en fer forgé du XIXè pour un ami, j'ai même du reforger certaine petites pièces, pas façile ce truc (j'ai une petite forge portative boostée par un ventilo de chaudière à ventouse...), c'était le métier de mon grand-père et de mon parrain, ils étaient forgerons à la SNCF!! D'ailleurs, je compte bien faire mes pare-chocs pour mémêre!!
Christophe
Mes tiotes autos: Mémère, Mentalo, Acamembert
Quand tu commences à prendre des virages dans une ligne droite, c'est que ça tourne pas rond dans le carré de l'hypoténuse. P.Dac
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Super , ca avance bien , en tout cas , chapeau l'artiste!!!!
Et si jamais tu t'ennuie après la fin de tes travaux , va y avoir une caban a refaire....
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J'envie ton atelier Marc . . . Tu as vraiment tout la bas . . . aller courage pour la suite.
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On est toujours émerveillé en te lisant Marc, on attend la suite... merci à toi !
Alain
Rouler en Dyane de 67, c'est tout un art !!
Vive sa tirette de démarreur rectangulaire, vive le centrifuge et vive le bleu week-end !!
Sinon y'a aussi l'AZAM de 63, l'AMI6 berline de 69, une 2cv4 de 71, et même quelques autres...
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Hello Marc,
Quel acharnement mais le résultat en vaut la peine. C'est magnifique. Et dire que ma Dyane souffre du même mal que la tienne, la baie de pare-brise est morte.
Bon courage pour la suite.
François
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Enfin la deuxième saison de notre feuilleton préféré ....super boulot "Monsieur" Marc.
Al1
Louisette: Dyane 6 AC 098 blanc Everest de 68
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Impressionnant !! Sur les fesses lol
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bonsoir
sa avance bien ici , c'est super
Robin
Dyane 6 bleu myosotis de 1979
Méhari ex armée en 24 v
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SAlut Marc, ya un moment que je n'est pas posté, et là je trouve une suite de la remise en forme..et..et..ppfhhh...que dire...c'est vraiment du super boulot!!!! un grand bravo et un grand merci de nous faire partager cette histoire passionnante...qu'on attend un peut comme un feuilleton! bon tu vas pouvoir ouvrir ta propre boutique de remise en forme pour nos chères petites autos!!
et va tu la peindre en rose??? se serait coll ça!!!! hihihihi!!! dégradé rose..rouge....mouais ..bon..désolé ..je sors!!!
Gilles
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